dimanche 8 février |
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La Gabbianella e il gatto – La Mouette et le Chat Film italien
(1999). Dessin animé. Durée : 1h 20mn L'histoire
: Empoisonnée par une nappe de mazout, la
mouette Kengah confie, juste avant d'expirer, son oeuf au chat Zorba et
lui fait promettre qu'il ne mangera pas l’œuf, qu'il en prendra soin
jusqu'a son éclosion et qu'il apprendra a voler au nouveau-ne. Zorba
s'exécute et élève ce chaton un peu insolite que la communauté des
chats a baptise Félicité. Elle va apprendre a se connaître, a
comprendre et a accepter qu'elle n'est pas un chat avant de pouvoir
voler. En attendant, elle se battra aux cotes de ses amis félins contre
le grand rat qui les terrorise avec ses sbires. |
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Félicité | Zorba | |||||||
Bobulina |
Colonnello |
Diderot |
Kengah |
Nina |
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Poeta |
Rosa dei venti |
Segretario |
Pallino |
Grande Topo |
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Enzo d'Alo Réalisateur, Compositeur, Scénariste Né en 1953 à Naples (Italie) Après avoir grandi
à Naples, Enzo d'Alo s'installe à Turin où, objecteur de conscience,
il rejoint en 1979 La Lanterna Magica. Au sein de cette structure, qui développe
des expérimentations audiovisuelles, il travaille auprès d'enfants à
qui il apprend les techniques de l'animation. En 1983, la Lanterna
Magica devient une société de production cinématographique, dont
d'Alo est un des fondateurs. Enzo d'Alo réalise
dans les années 90 des dizaines de productions pour la jeunesse, comme
la série Les Aventures de Pimpa, adaptée d'une bande dessinée
très célèbre en Italie. Ce mélomane (il joue du saxophone et de la
flûte traversière) réalise également un clip de Paolo Conte à qui
il demandera de composer la musique de son premier long-métrage, La
Flèche bleue, sorti en 1997. Dans ce film, des jouets se révoltent
contre un homme qui ne veut les distribuer qu'aux gens riches. Derrière
un univers tendre et poétique perce déja l'engagement politique
discret du cinéaste. C'est avec son deuxième
opus, La Mouette et le chat, adapté d'une nouvelle de Luis
Sepulveda, qu'Enzo d'Alo récolte un succès international et s'impose
comme l'une des valeurs sûres du cinéma d'animation européen. En
Italie, plus d'1, 5 million de jeunes (et moins jeunes) spectateurs sont
conquis par cette histoire d'oiseau recueilli et élevé par une bande
de matous. Dans son film suivant, Momo, the conquest of time, inédit
en France, les individus n'ont plus le droit d'avoir de temps libre, car
ils sont exploités par des "hommes gris" obsédés par le
rendement. Avec Opopomoz en 2003, Enzo d'Alo signe un conte de Noël inspiré de son enfance napolitaine. Cet artisan du cinéma d'animation est honoré par le Festival du Film Italien de Villerupt qui lui remet en 2002 le Prix de la Ville. | ||||||||
Trois résumés et analyses trouvées dans la presse | ||||||||
Maria Stella Taccone dans reVision 1998 |
Stefano Andreoli dans DM 133/134 |
Luca Fava sur www.intermed.it | ||||||