Le référendum retarde la rénovation...
 mais ne condamne pas le BIO 72

Lors de la séance du 11 novembre 2003, le Conseil municipal de la Ville de Carouge a approuvé le rachat de la parcelle et du bâtiment abritant le cinéma BIO 72 pour un montant de 1,7 million (les aides et subventions extérieures à déduire de ce montant).

Dès sa publication, un groupe autour de l'assureur Alain Saracchi a lancé un référendum contre cette décision, arguant d'un coût exagéré, et mettant en opposition le maintien du cinéma BIO avec la construction nécessaire de crèches et d'EMS. 

Cet amalgame mensonger et la crainte exprimée par certains d'une augmentation des impôts ont permis au groupe référendaire de recueillir dans les délais légaux près de 1200 signatures. Un scrutin sera donc organisé ce printemps, permettant aux Carougeoises et au Carougeois de démontrer leur attachement à leur cinéma de quartier.

Ce n'est donc pas le moment de nous décourager: il faut continuer à débattre et à argumenter, à convaincre les hésitants et à mobiliser nos amis cinéphiles. 

 

Argumentaire pour le sauvetage du BIO